Il ne s’agit pas d’un changement de mode vestimentaire, de ce coté là c’est toujours aussi simple : Quand un T-shirt est sale, on le lave et on met l’autre, et ainsi de suite, on ne se demande pas chaque matin comment on va s’habiller. Il s’agit d’un changement de mode de voyage, comme vous allez le découvrir. En route ! (Vous vous souvenez sans doute que nous étions en train d’aller de Darwin à Katherine, pour la seconde fois).
L’Historic Museum
Étant toujours titillés par l’envie de passer par le chemin des écoliers plutôt que par celui que tout le monde emprunte, nous ne pouvons résister à l’envie de quitter la Stuart Hiway lorsqu’on voit un panneau qui annonce une vieille route qui s’en va dans le bush mais semble tout de même se diriger vers le sud, c’est notre direction, on y va. Certes, elle n’est pas goudronnée mais semble fréquentée (selon les critères locaux, donc quelques voitures par jour), on a eu raison de ne pas hésiter, elle est assez roulante et plaisante.
Encore un petit tour de « Retour vers le futur » puisque vous avez bien aimé ça la fois dernière :
C’est en approchant d’un lieu habité, après des tas de kilomètres désertiques, que nous éprouvons le même sentiment, sans nous être concertés : C’est bien là que nous étions venus il y a dix ans, déjà à l’époque nous avions pris une petite route parce qu’elle nous paraissait tentante (ce n’était pas la même), et nous étions arrivés en cet endroit. Il s’agit de ce qui est pompeusement nommé « Historic Museum », en fait un vieil établissement qui fait bistrot, restau, hébergement et accessoirement lieu de spectacles. Nous avions été très surpris, à l’époque, de découvrir un tel endroit, et tout autant de le redécouvrir maintenant. Quasiment rien n’a changé, si ce n’est qu’il y a dix ans de plus de poussière et de toiles d’araignées partout. Le type au bar est le même, le patron Stan Haeusler aussi, l’ambiance est toujours aussi cool, incroyable !
Pour être tout à fait précis, le type au bar a pris un léger coup de vieux, nous aussi mais comme on l’a pris en même temps on n’en parle pas. Juste un ajout depuis notre dernière visite, « la plus grosse pépite d’or du monde » (ben tiens…) est exposée au bord de la piste.
Pour l’aspect Museum, c’est assez cocasse : Un tas de vieilles carcasses de voitures dehors, à l’intérieur un bric à brac de vieux trucs sans grand rapport les uns avec les autres, dès l’instant où ça a l’air vieux c’est digne d’être accroché aux murs.
Pour la convivialité, c’est incroyable : Chaque dernier samedi du mois, le camping est gratuit, il y a de la musique live et le dîner est gratuit aussi ! Et devinez quoi ? Nous sommes le dernier samedi du mois !!! On n’avait pas prévu de rester, mais là on ne peut résister, il faut qu’on passe la soirée ici. Problème, nous n’avons pas le matos de camping, et il n’y a plus de chambre de libre, gloups. Mais comme d’habitude, ça va s’arranger, le type du bar dégotte une chambre avec un petit lit et va nous chercher une couverture et un oreiller pour celui de nous deux qui dormira par terre ; on tirera à la courte paille. La chambre en question est dans une espèce de container, c’est à l’image du reste, assez folklo mais ça ira très bien ; d’ailleurs nous n’aurons pas besoin de la couverture, on dormira à deux dans le petit lit, tête bêche.
Le dîner gratuit est un barbecue, avec les grillades de boeuf qui vont bien mais aussi des accompagnements nombreux et variés, tout le monde se régale ; il y a environ cent cinquante personnes, dont Norman qui vient chaque mois de Darwin pour ne pas rater cette soirée là, et ils sont sans doute nombreux dans ce même cas. Au micro, c’est sympa aussi, musique country avec des chansons que tout le monde reprend (sauf nous…), les artistes se succèdent dans des styles variés, c’est un peu comme au Yacht Club de Darwin. Un bon moment de rire (sauf nous) quand chacun vient au micro avec une petite histoire drôle à raconter, jeux de mots que nous ne saisissons pas quel dommage, c’est l’hilarité autour de nous.
Le lendemain, petit dej’ dans la même ambiance. Ce n’est plus gratuit (faut pas exagérer), on met les dollars dans un seau, le patron Stan de 82 ans, cuit les oeufs, un autre gars grille le bacon, c’est tout bon, thé et café à volonté, toasts beurrés et le tour est joué dans une ambiance super sympa, forcément on a fait connaissance la veille au soir.
Katherine again
Un petit passage chez Coco’s, évidemment, l’adresse est trop bonne. Les cyclistes sont partis chacun dans leur direction, d’autres arrivent. Un père et son fils d’origine américaine qui ont aussi des vélos couchés (d’ailleurs on nous en signale deux autres qui ont été aperçus sur la hiway), et une courageuse jeune anglaise, londonienne, qui s’apprête à partir sur la célèbre Gibb River Road en solo.
Nous faisons connaissance de Spencer et Martine de Gif sur Yvette, ces deux là parcourent l’Australie pour deux ans en voiture, lui est d’origine australienne, elle est bretonne de Lorient. Alors forcément on parle du festival de Lorient qui a pour invité d’honneur cette année l’Australie (Quel dommage, on a raté ça). Spencer et son frère sont très impliqués dans la préservation des droits des Aborigènes et notamment en ce qui concerne la réparation des souffrances et des spoliations dont ceux çi ont souffert.
Spencer nous raconte qu’un de ses ancêtres a fait partie d’un convoi de pionniers qui ont massacré un village d’Aborigènes ne laissant que peu de survivants, ceux çi s’étant enfuis. Or l’histoire officielle raconte que les femmes et les enfants ont été épargnés et se sont enfuis dans le fameux bois.
Spencer qui traverse l’Australie sur les pas de son ancêtre, et qui a pu avoir accès aux documents d’archives officiels, se retrouve par hasard dans ce village. Il se présente à l’ancien, le chef du village, par son nom. L’ancien connait ce nom puisqu’il est rattaché à la transmission orale de l’histoire de ce village par les ainés. Quand il pose la question de savoir si c’est bien dans ce bois, la bas, que les femmes et les enfants se sont enfuis, l’ancien lui répond que non personne ne s’est caché dans le bois, tout le monde a été massacré à l’exception d’une poignée de femmes et enfants. Par contre c’est bien dans ce bois que les morts ont été ensevellis. Spencer n’en revient pas, il est très ému quand il nous raconte cette histoire qui date de quelques jours. Il y a un travail de réhabilitation de la vérité à faire pour l’histoire des Aborigènes d’une part, mais aussi des blancs. Nous on se demande quels sentiments animent aujourd’hui Spencer à la découverte de ce que à quoi son aïeul a participé.
Chez Coco’s nous avons rencontré également Quentin, de Toulouse, charpentier de métier et qui travaille chez un artisan installant des panneaux solaires. Ca fait un mois qu’il n’a pas reçu son salaire. Ici on reçoit sa paye chaque fin de semaine. Il a donc décidé de lui réclamer ce matin son dû. En fait il revient chez Coco complètement HS, il s’est fait taper dessus par son boss à coup de barre de fer, son dos est marqué (Le boss fait des bosses). Heureusement il y est allé avec un autre backpacker qui l’a aidé à rentrer. Évidement tout le monde lui conseille d’aller voir la police pour raconter ce qui c’est passé.
Katherine Gorge
Nous étions tellement occupés lors de notre récent passage à Katherine que nous n’étions même pas revenus visiter les gorges. Comment ça, revenus ? Eh oui, car nous sommes à nouveau dans un endroit mémorable, celui où a failli avoir lieu la fameuse demande en mariage. Irène ne se doutait évidemment de rien et Joël trimballait avec lui la bague achetée depuis Cober Peddy, la capitale de l’opale ; mais comme on avait loué un canoë et qu’il y avait un endroit où il fallait franchir des rochers en soulevant et poussant l’esquif, il fallait faire très attention à ne pas perdre la bague qui était dans une poche du short. Finalement, les circonstances n’étaient sans doute pas favorables, puisque la demande n’eut lieu que plus tard, à Kakadu comme vous le savez.
Cette fois-ci, pas de sortie en canoë, nous optons pour le mode rando. Une bien belle sortie mais pas facile du tout, avec des passages acrobatiques, notamment la belle vallée des papillons où on trouve aussi de drôles de fruits.
Il y a même un lieu où il est possible de se baigner, les crocos n’étant pas méchants dans ce coin là et guère choqués par Joël en tenue d’Adam, ainsi qu’un autre type arrivé un peu plus tard.
Le retour est toutefois difficile, sous un soleil de plomb dont la chaleur est réfléchie par le plateau rocheux, heureusement il y a de magnifiques vues plongeantes sur la rivière et que le trajet est bien balisé.
En conclusion, c’est un peu dur de passer du vélo à la rando, ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent.
The School of the Air
Voilà un établissement que nous avions très envie de découvrir mais il était fermé pour cause de vacances lors de notre passage précédent. Maintenant qu’il est ouvert, voilà que les profs ne sont pas là car c’est une sorte de « journée pédagogique », tout le monde est en réunion. Quant aux enfants, on ne risque pas de les voir puisqu’ils sont disséminés un peu partout dans le Territoire. Pour le coup, l’interdiction de prendre des photos afin de respecter la confidentialité est un peu ridicule, il n’y a personne là dedans à part la dame qui sert de guide.
Les salles des profs sont très spacieuses et remarquablement équipées, ainsi qu’une salle de vidéo-conférence avec moult caméras. Il y a des années que les anciens émetteurs radio ne sont plus utilisés, maintenant tout passe par internet. Il y a 19 profs pour 190 élèves, de 6 ans à 15 ans (au delà, ils doivent rejoindre une école où ils seront pensionnaires). Les enfants se retrouvent tous à l’école deux fois par an pour un rassemblement d’une semaine, ils utilisent les locaux de l’école voisine, leurs vacances scolaires étant décalées à cet effet.
Pour en savoir plus, on visitera les School of the Air de Derby et/ou de Broome, en espérant les voir en action. Mais pour le moment il faut qu’on repasse chez Coco’s, lorsque nous en sommes partis pour les Gorges nous avions oublié un pneu de secours dans son container à fourbi, il pourrait bien nous servir un jour.
J’y vais ou j’y vais pas ?
Au moment de s’en aller enfin vers l’Ouest, il faut qu’on vous explique pourquoi nous sommes récemment revenus à Darwin (même si aucun lecteur n’a posé la question, vous n’êtes guère curieux).
Pour rejoindre la côte ouest, deux options : La Great Northern Hiway qui est bien roulante, pas trop fréquentée et donc tout à fait envisageable même si les distances sont conséquentes. Ou bien la Gibb River Road qui n’est pas goudronnée sur 650 km, ne comporte que peu de points de ravitaillement en nourriture et en eau, est est réputée difficile. Vu comme ça, le choix devrait être vite fait, mais ce n’est pas si simple : La hiway contourne le Kimberley, la Gibb River Road le traverse, et ça change tout. Car cette région est renommée pour ses magnifiques sites naturels, plusieurs voyageurs nous l’ont chaudement recommandé, et nous ne voulons pas faire l’impasse dessus car il est peu probable qu’on revienne dans le coin de si tôt.
J’voudrais bien, mais j’peux point !
Selon plusieurs témoignages de cyclistes, parcourir cette Gibb River Road à vélo est particulièrement éprouvant, même si c’est possible, il faut alors compter deux semaines ; plus de temps serait mieux, mais le problème de la quantité de nourriture à transporter devient insurmontable. Ça ne permet que de parcourir la route le plus vite (ou le moins lentement) possible sans pouvoir se reposer dans un endroit qui nous plait, et surtout ça exclut la visite de nombre de sites qui ne sont pas le long de la route mais nécessitent des détours par des pistes cahoteuses.
Après de longues réflexions, nous avons donc décidé de ne pas faire cette partie à vélos, c’est pourquoi nous avions passé du temps à Katherine pour rechercher un véhicule, que nous n’avons d’ailleurs pas trouvé. D’où le bref séjour à Darwin, mais il n’y a pas moyen d’y trouver du tissu Vichy pour les rideaux du road-train, alors on s’est contentés d’un Ute (Pick-up) 4×4 dans lequel nos vélos ont trouvé place ainsi que tout un chargement de provisions 40 litres d’eau et 40 litres d’essence. Ce sont les recommandations avant de s’engager sur les routes désertiques de cette contrée, avoir suffisamment d’eau et de nourriture pour attendre les secours , au cas où !!!
Nous garderons ce véhicule jusqu’à Perth, où nous reprendrons notre lente progression à vélos. Maintenant, à nous les joies de la voiture, à commencer par celle de faire le plein…
Avec un coup comme ça, on va encore perdre des abonnés, c’est sûr. C’est dommage car on n’arrive pas au nombre fatidique de 500 lecteurs (il en manque cinq) que l’on a prévu de fêter en publiant un clip irrésistible, La Lunella. Ce devait être le tube de l’été, mais tant pis, ce sera pour plus tard. N’abonnez pas pour autant votre chat ou la cousine de l’oncle du facteur, on ne triche pas !
Un grand merci à nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude en voyant qu’on ne donnait plus de nouvelles depuis le 15 août (en fait, ils ne sont que deux, mais ça permet quand même d’utiliser le pluriel).
Les événements relatés dans cet article datent de juillet, or nous sommes en septembre : Il y a comme qui dirait du retard dans la publication. Pourquoi donc ? D’une part, les accès à internet sont souvent difficiles dans cette partie du monde, d’autre part il y a sans doute une moindre motivation pour rédiger… Mais on va essayer de se rattraper 🙂
Super j’ai envie d’aller voir par là comment c’est…Dans une autre vie peut -être…
Cyclamitiés
Françoise
Hi! Comment voulez vous que l’on vienne vous retrouver si vous nous envoyez des News périmées !!!!! (Lol)
Mais on adore quand même
Bonne suite!!
lol, la Gibb Road est tellement une route que gogeulemaps ne la connait pas.. Alors donc vous aller faire 4000km en pickup, est-ce que je me désabonne 🙂 ?????
Oui motivez vous bien aussi pour continuer à rédiger: vous êtes épatants et même si vous avez peu de réactions c’est que nous, sédentaires, n’aurions que des banalités à raconter, bien plates par rapport à vos aventures qui sont remarquables et remarquablement contées et joliment photographiées: merci pour ces efforts pour les partager. Bonne continuation! Des bises
Coucou les voyageurs vedettes
Je rate pas un seul de vos récits que j’adore et peu importe la monture c’est les cavaliers qui m’interressent …..lol……En plus celui ci je l’ai lu dans la nuit , j’étais debout a cause de bactérie de merde qui gâche mes jours mais aussi mes nuits …..Vous me faîte révée ,il me reste plus que ça ou presque ……Bisous a vous 2
Juste un gros bisous à vous deux ! Sophie
Bonjour les Cyclomigrateurs,
Moi aussi je me faisais du souci, même si je ne l’ai pas manifesté.
Comment ça, il y a « une moindre motivation à rédiger » ??? Vos récits sont une tornade de bonne humeur, je les espère et les savoure. Je lis deux fois chaque phrase pour ne pas arriver trop vite à la fin (si si, c’est vrai). C’est beau, c’est touchant, c’est rigolo, ça respire tellement la joie de vivre !
Donc j’espère que la motivation va revenir. Quoi qu’il en soit, merci pour votre blog et pour tout le temps que vous y avez passé.
N’arrêtez pas d’écrire ! Même si on a eu quelques loupés de lecture (faut dire qu’avec 3 enfants et un déménagement on ne chôme pas!), on a toujours grand plaisir à vous lire ! On vous embrasse bien fort !
Pour le manque de nouvelles, je ne me suis pas trop inquiété… je me suis dit « Ils sont certainement en vacances. »
Mais c’est avec bonheur que je vais vivre la rentrée avec vous.
Ah, voilà des (bonnes) nouvelles. Justement, depuis quelques jours nous nous disions que nous n’en avions plus… Mais : « pas de nouvelles, bonnes nouvelles » comme on dit chez nous.
Je n’aurais pas cru que ce coin d’Australie soit aussi cool que l’image que vous nous en donnez.
ça donne envie !
Bonne continuation
amitiés
Irène et Joël,
Ben, le temps passe vite ici aussi ! Je vous croyais en vacances…quelque part au bord de la mer ! hi,hi,hi ! Ce message nous vient comme une carte postale audio-visuelle ! Ah ouf, le reportage reprend pour surprendre nos quotidiens ! Mon image de l’Australie se colorie nouvellement à chacune de vos lettres illustrées et brillamment relatées ! C’est très plaisant, bravo ! Que la route vous offre toujours son beau ruban ! Bisous ! Marie
Coucou
Merci pour le voyage d’hier ou d’avant hier et pour celui que vous nous raconterez demain !
J’ai envie de dire faites ce que vous voulez quand vous le voulez et comme vous le voulez ! Profitez bien de tout pour vous en premier.
De mon coté avec les vacances j’ai aussi été moins assidue dans la lecture, donc tant mieux pour moi si vous avez pris du retard dans la rédaction ;).
Il y aura du boulot pour les longues soirées d’hiver … c’est quand l’hiver là bas ?
Gros bizhouxxx
Nanou et Fred
hello j’ai pensé à vous l’autre jour quand je suis allé à Bordeaux!Pourquoi il y a tout un site en voie de réaménagement »La Bastide » une ancienne Caserne ..et j’ai vu DARWIN hi!!!!voir sur un moteur de recherche. »Darwin Bordeaux »
Bonne road sur un véhicule bien adapté …
see you soon
Bernard
en 1er lieu, pas de pression, profitez bien du présent là bas à l’autre bout de la planète…. mais nous attendons quand même avec impatience la suite des épisodes…. bonne route
Merci pour ce nouveau et palpitant récit ! Surtout Continuez à nous écrire et à nous faire partager votre voyage . C’est passionnant et les photos sont belles …
Poursuivez bien votre aventure !
Même si je n’ai pas renvoyé de commentaire, je n’ai rien loupé de vos articles précédents. Au plaisir des aventures et des paysages, celui de vous savoir en forme … Continuez! Et puisque le plaisir partagé augmente le plaisir, je vous renvoie celui de vous lire étant sûr que vous allez en faire bon usage, et bien que cela puisse paraître intéressé. Quant à celles et ceux auxquels cela donne la naustralgie, ils peuvent toujours soigner leur déprime en lisant votre journal de bord et en y répondant …. sur un guéridon (et hop)!
Sans nouvelles on pensait souvent à vous d’autant que l’on était aussi sur nos vélo.
Bravo pour votre récit toujours captivant. Si-si.
bien faire attention a garder le pieds droit en forme avec 2 pédales dur dur.
Bonne continuation les jeunes
Ah! enfin de vos nouvelles! Je me demandais où vous étiez.Continuez de nous raconter votre voyage Cela sera plus confortable et plus rapide en 4×4 Nous attendons la suite de vos rencontres c’est bien raconté et les photos sont belles.
Biz à tous les 2
Toujours aussi captivant de vous suivre de vrais Pros,continuez on en redemande..
Bonjour les cyclomigrateurs,
Devant la menace brandie de cesser de nous fournir en nouveaux articles et donc en évasion virtuelle, me voici motivée pour vous laisser enfin un commentaire ! Eh oui, on ne se connaît pas (enfin si moi à force j’ai l’impression de vous connaître un peu par blog interposé) mais je lis vos aventures depuis le début et attends vos nouveaux articles avec impatience. Il faut dire qu’on a quelques points communs : cyclistes, voyageurs, rédacteurs de blogs… mais moi je m’abstiens de monter sur des chameaux, sales bêtes !
Bref tout ça pour dire que j’adore vos récits alors même si ça prend du temps continuez à nous faire rêver !
Bonne continuation pick-upo-cyclopédique et à bientôt sur le blog.
Ne vous inquiétez pas on vous suis avec gourmandise…quelque soit votre mode de déplacement ! 😉
et moi aussi je suis en retard sur la lecture, mais je respecte l’ordre du voyage !
Il y a bien un mode de transport qui manque au panel ! Le cheval… mais là, je crois qu’après l’épisode chameau, la monture restera à l’écurie !
Continuez on aime tous: les rencontres, les photos, le récit … C’est magique, magnifique, romantique, poétique, épique, atypique…
fantastique ! …ique …ique…ique hourra !
Fabienne