
Une semaine :
- Où l’on voit que la Bretagne c’est bien, mais la Vendée c’est pas mal non plus. Et que pour faire du vélo, il n’y a pas photo (et même que c’est pas tout plat !).
- Où l’on rencontre des personnages fort attachants, pour peu qu’on se prête au jeu.
- Où ça décoiffe pas mal, et où c’est très haut en couleurs…
Après trois jours de repos, c’est reparti est cette fois-ci on quitte la Bretagne pour de bon. Au-revoir les bonnes galettes, le vrai cidre et les si légers kouign-amann, snif. Mais on va vite voir qu’ailleurs ce n’est pas mal non plus, on fait des découvertes intéressantes.
A moi jeunesse abeille blonde aux ailes d’or ! Prenez une âme et par le monde prenons essor (Marceline Desbordes-Valmore)
Nous quittons Sarzeau et la mamy Isabelle pour la direction Surzur par les petits chemins réservés aux vélos, nous découvrons la campagne sous un soleil généreux. Une pause pic-nic au pied de l’église de Surzur où nous voyons filer à toute vitesse un couple de tandemistes couchés. Ils feront demi-tour parce que malgré leur vive allure ils nous ont quand même vus, alors ça ne se rate pas de se présenter nos jolis destriers.
Ces deux là enfourchent leur tandem dès le travail terminé, ils ont déjà parcouru pas mal de kilomètres notamment en Norvège qu’ils ont adorée tellement c’est beau, ils nous donnent envie d’aller y faire un tour mais il nous faudra attendre encore quelques années.

Près d’Arzal nous découvrons une jolie petite chapelle des templiers au village de Lantiern, chapelle figurant aux monuments historiques et entourée de maisons bourgeoises, un magnifique petit village qui vaut le détour. La traversée du barrage d’Arzal à l’embouchure de la Vilaine nous rappellera des souvenirs de randonnée pédestre
Nous poserons la tente au port de Vieille Roche à Camoël pour un bivouac en bord de mer avec sanitaires et tout et tout, presque aussi luxueux qu’un camping, la tranquillité en plus et le prix en moins…


Le jour suivant nous traverserons le marché de Penestin, c’est dimanche et y’a du monde dans le bourg, ça sent le poulet rôti, la cochonnaille, d’ailleurs c’est là que nous trouverons notre repas (galettes et super morceau de saucisse grillée comme on n’en avait encore jamais mangé, un vrai délice) désolés nous n’avons pas retenu le nom du boucher, vous n’avez qu’à venir voir vous même.
Penestin est aussi la capitale (c’est ce que disent les panneaux publicitaires) de la moule sur bouchots ; nous traversons la zone des chantiers de mytiliculture, les pieux de chênes ou de châtaigniers s’empilent et attendent de se retrouver les pieds dans l’eau à supporter les moules qui voudront bien s’y accrocher.
Nous entrons dans le parc naturel de la Brière mais sans voir les marais salants et ferons une pose près de la basilique de Guérande, petite cité médiévale, très fréquentée en ce jour dominical, les vacanciers sont là et ça se voit… c’est pareil pour la traversée de La Baule…..ouh là là…. c’est carrément les champs Elysées, on va aussi vite que les voitures qui sont cul à cul, il y a des barres d’immeubles à n’en plus finir, toutes les boutiques sont ouvertes, faut pas rater le chaland, on file notre chemin sans faire d’emplettes, rien ne nous conviendrait de toute façon.
Pornichet nous voit arriver après 57 km de pédalage chez Daniel qui traine le long de la route dans un quartier sympa, on s’enquiert auprès de lui du camping le plus proche et de fil en aiguille nous voilà installés sur sa pelouse.

C’est aujourd’hui lundi 14 avril que nous devons traverser le pont de St Nazaire, et ce n’est pas sans une certaine appréhension, il semble tellement haut : 61m, 3,356 km, 258 piliers en béton, 1700 tonnes d’acier, un vrai monstre qu’il va falloir mâter à grands coups de pédales.
Il est vraiment impressionnant vu d’en bas et on se demande si on va y arriver, les sacoches sont pleines quand même…..alors c’est là que nous avons une veine pas possible car la voie de droite est complètement dégagée et interdite aux voitures, un petit vent dans le dos qui nous va bien et puis de toute façon on n’a pas d’autre choix, il faut y aller. C’est Irène qui s’y colle la première frissons sur l’échine, un bâton entre les dents et le regard décidé à gravir cette montagne d’acier et de béton, la voilà partie, Joël derrière avec sa petite caméra pour immortaliser l’instant.
On en viendra à bout vous vous en doutez, rien ne nous résiste, bien contents d’admirer la vue sur St Nazaire au plus haut, les haubans sont impressionnants, la descente sera remarquable, c’est cool quand ça descend tout seul sans effort, ça on adore !!!

Camping Clos mer et Nature, accueil très sympa et tarif imbattable à St Michel Chef Chef (drôle de nom, 22 000 personnes en été, 4.5 km de plage, paradis de la pêche à pied, pêcherie aux grands filets carrés particulière à l’île de Ré). Ca sent sacrément bon les gâteaux, c’est là que sont fabriquées les galettes St Michel (qui n’égalent toutefois pas les galettes de Pleyben, faut pas exagérer). On n’en aura même pas acheté un paquet, ingrats que nous sommes, par contre on apprécie la petite épicerie qui est bien achalandée et nous évite de devoir aller au supermarché. Faire les courses quotidiennement, c’est une des joies du voyage à vélo, les possibilités de stockage et de conservation étant pour le moins limitées. On aurait dû emporter le congélateur, c’eût été tellement plus simple…
Le trajet continue par Pornic, on roule sur la Vélocéan, un itinéraire assez sympa qui fait partie de la Vélodyssée : Il y a comme ça des itinéraires bien connus des cyclistes, on a plaisir à les emprunter (on les rend après) mais aussi parfois à s’en éloigner. C’est ainsi que nous arrivons dans le Marais Breton.
La Vendée à vélo

Vous pensiez, comme nous, que le pays idéal pour faire du vélo est la Hollande ( pas celle de François) ? Eh bien vous n’avez pas tort, mais on a trouvé bien plus près : avec ses parcours cyclables, la Vendée nous a bluffés !

Ça commence par la découverte du Marais Breton, un endroit dont le nom ne peut que nous attirer, évidemment. Rien à voir avec le marais Poitevin, qu’on a déjà pratiqué, c’est moins loin mais autrement plus sauvage. Amis bretons (et d’ailleurs), si vous ne connaissez pas, il faut absolument découvrir ce marais. Et si vous connaissez, vous auriez dû nous en parler, au lieu de garder cette merveille pour vous.
Fi de la terre à choux, venez en terre à chouans !
Idéalement, ça se découvre à vélo car c’est assez étendu et les voitures n’ont heureusement pas droit de cité dans ces espaces naturels où les oiseaux sont légions. Les parcours sont très bien balisés et serpentent au fil des cours d’eau, en plus c’est tout plat, un vrai régal.
Mais ce n’est pas le tout, le reste du département est également remarquablement bien pourvu en itinéraires intéressants. Et comme ce sont de toute évidence des cyclistes qui ont participé à l’élaboration de ces circuits, c’est bien fait : les fléchages sont clairs, les distances indiquées, les revêtements généralement agréables et surtout il n’y a pas ces ¥₩&$@# de chicanes qu’on déteste parce qu’elles ont le don de gâcher les meilleures réalisations ; si seulement les aménageurs de voies vertes et chemins de halage bretons pouvaient s’en inspirer, on pourrait s’en réjouir au lieu de pester chaque fois qu’on doit mettre pied à terre inutilement.

Cet article nest pas sponsorisé par les offices du tourisme du coin, ni même par le Conseil Général (mais s’ils veulent nous envoyer des sous quand même, qu’ils ne se gênent pas)

Pour notre arrivée en Vendée, nous sommes aussi accueillis pas un vent à décorner les boeufs, au début ça surprend. Après aussi, d’ailleurs. L’avantage est que, dans le marais, on change souvent de direction alors on l’a parfois dans le dos, ça fonce à toute allure; mais quand on l’a de face, c’est une autre histoire, ça rame un max. D’ailleurs ça donne envie de renommer le département Vent D ! Vent Debout, vent Derrière, vent Dale, Vent Detta, tout y passe. Mais ça se calme le soir, on peut planter la tente sans qu’elle ne risque de s’envoler et nous avec (une nouvelle forme de parapente, ce serait marrant).

Pour le bivouac, nous osons une « aire de loisirs » à Chateauneuf, ce n’est pas franchement prévu pour, mais personne ne nous dit rien et comme le coin est joli, avec un petit plan d’eau, on y est bien. Il y a un bistrot-épicerie tout près, le Castel, parfait pour le petit dej et les emplettes du jour.

Direction Saint Christophe du Ligneron par La Garnache et Froidfont. Ce n’est plus l’itinéraire à vélo la Vélodyssée, mais nous avons là une étape familiale, des retrouvailles après plusieurs décennies. Le long de la route, une jeune maman avec ses deux petites filles nous propose son aide : eau, douche, quelque chose à manger; très sympa, mais nous déclinons, nous n’avons besoin de rien à ce moment là (dommage).
Le soir même, rebelote en arrivant à Olonne après avoir traversé Coex, St Révérend et St Gilles Croix de Vie : après nous avoir doublés, un jeune papa se gare devant nous et nous propose de venir piquer la tente chez lui; zut, nous sommes attendus en famille (encore), c’est bien dommage car c’est un voyageur qui a repéré nos bagages et aurait aimé passer un moment avec nous. Il a lui-même fait un tour du monde, maintenant il a deux enfants, c’est une autre forme de voyage…
Ce jour là, nous arrivons à 83 km au compteur, heureusement qu’un bon lit nous attendait.
Le lendemain, on visite les Sables d’Olonne, notamment le quartier de l’île Penotte avec ses maisons décorées de fresques en coquillages, superbe.
En plus, vu que nous sommes hébergés, on se régale, ça fait du bien. Et puis il faut goûter les spécialités locales, n’est-ce pas ? Le préfou, les mogettes (c’est comme les cocos de Paimpol mais ça s’appelle pas pareil), la paella (c’est moins local, mais bon aussi).

On prend finalement la route des Sables d’Olonne, puis on tombe sur un barrage avant Talmont St Hilaire, tout est effondré suite aux tempêtes; mais on passe quand même, en poussant les barrières et les vélos, ça nous évite 8 km de détour. Un peu plus tard, même topo, route barrée dans les marais et on essaie de passer mais ça ne marche pas : la passerelle à vélos est carrément déposée sur la berge, il faudrait y aller à la nage… On ne peut pas gagner à tous les coups.

A Jard sur Mer, on atterrit au camping La Ventouse (ne nous demandez pas pourquoi ça s’appelle comme ça, même la gérante a des doutes, mais le quartier porte ce nom). On essaie pour la première fois le réchaud multi-combustibles grâce au litre d’essence acheté juste avant, avec un succès mitigé; après avoir cuit les patates, l’engin s’arrête et pas moyen de le rallumer, ça reste à peaufiner. En fait, les expériences suivantes seront un peu plus concluantes, il faut un certain doigté pour maitriser l’engin. Comme on a la salle wi-fi du camping pour nous seuls (on a même la clé), on en profite pour communiquer par Skype avec les enfants: Thomas pour mettre au point notre rencontre du dimanche, Delphine, Simon et Eva pour le plaisir de se revoir, ainsi que Edith et Michel, nos voisins, pour avoir des nouvelles du Val Froment. Moralité, si vous voulez nous voir, inscrivez-vous sur Skype; notre identifiant est « cyclomigrateurs » (étonnant, n’est-ce pas ?).

J12, le 18 avril, on retrouve Solange et Joël à La Tranche sur Mer, acignolais et néanmoins amis qui nous invitent à casser la croûte, ce qui est bien agréable et change de l’ordinaire. On prend la direction de St Michel en l’Herm, mais on rate un panneau de direction et filons jusqu’au bout de la Pointe de l’Aiguillon avant de faire demi-tour, hop ! 9 km de rab. Du coup, on a vu les zones qui ont été inondées, faisant des victimes à la Faute sur Mer.
Les rencontres
Daniel, le cycliste monomaniaque. Un peu méfiant au départ, mais très généreux, Daniel a eu une vie qui ne lui a pas réservé que des joies. Il a vécu une partie de sa vie dans le pays de Geix d’où il arrive de passer 3 mois, un retraité qui sait profiter des bons moments avec les potes. Mordu de vélo, il a fait de nombreuses compétitions et a entrainé nombre de jeunes qui sont ensuite arrivés à un haut niveau. Il nous explique des tas de trucs qu’on ne comprend pas forcément, vu que nous ne baignons pas dans le milieu du cyclisme professionnel, mais ne pose curieusement aucune question sur notre projet ni nos montures. Il est maintenant en retrait du cyclisme, trouvant que c’est devenu une histoire de fric (une prise de conscience tardive ?) et que les cyclistes sont tous « chargés » (on l’est aussi, mais pas de la même façon).
Merci Daniel pour cet accueil spontané et très nature.

Arrivés à St Nazaire, rencontre avec Brian et Armelle qui nous invitent à prendre une « cup of tea » chez eux. Brian est moitié Ecossais, moitié Irlandais, nous passons un excellent moment dans leur petit jardin au son de la guitare de Brian et de la musique celtique, il est compositeur interprète, un vrai moment de bonheur. Joël et lui partageront des souvenirs d’enfant de choeur et de vin de messe bu en cachette, de chasubles trop longues où on s’y prend les pieds et où les hosties se retrouvent répandues sur le sol….Brian se prendra une correction par sa mère, c’était dur la vie d’enfant de choeur en ce temps là !!!
Armelle, elle, est originaire de la région d’Audierne ça rapproche quand même. Nous nous quittons à regret… le pont nous attend.

Les producteurs de moules en détresse, toute leur production est en train de mourir depuis un mois et demi dans toute la baie de l’Aiguillon, Ifremer ne leur donne pas d’explication. Personne ne veut porter la responsabilité de cela, la situation est critique pour toute l’année à venir.

bon, d’accord, on ne va pas être chauvins : la Vendée, c’est pas mal aussi! au moins pour les pistes cyclables!!!!
Toutes ces rencontres d’un instant, c’est très enrichissant et cela rajoute vraiment au charme!
Bravo pour les belles photos et les commentaires non dénués d’humour! Bonne continuation et à bientôt
Françoise
Bonjour à vous deux.
Je n’ai pas pu vous accompagner lors de vos premiers coups de pédales qui doivent vous mener à l’autre extrémité de la terre. (Pas difficile, vous allez tout droit et vous reviendrez de toutes façon à Acigné). Je le regrette, car apparemment je ne suis pas près de vous revoir. Heureusement, il y le blog qui nous fait rêver et voyager sans fatigue.
Bon vent (arrière bien sûr…)
Michel
C’est cool de pouvoir commencer à lire vos aventure ! Ca y est nous sommes abonnés au blog et à la page FB, on va devenir de vrai petite groupie ^^
C’est marrant l’endroit ou vous avez mangés devant l’église (au début de l’article), nous avons mangés exactement la il y a quelques semaines en arrière !
Bon courage à vous deux et profitez bien !
La Vendée de la côte,pour le vélo,c’est cool,mais si vous étiez passé par le bocage ou la qu’ils vendéenne,alors là,gare aux mollets. On s’est rencontré devant la poste de Sarzeau. Bonne continuation. Merci. Super vos récits. Monique et Jean Marc.
Dans ces histoires de vents, je constate qu’Irène est toujours devant….et qu’après le pays Vent D vous allez arriver au pays des vents d’anges. Je pense que votre périple va être très ventilé….
Bon vent à vous!
Mimi & GG
Salut tonton et tata,
C’est en bivouac au bord de la rivière que l’on suit vos aventures !
Nous sommes a quelques jours de la bulgarie.
Nouveau changement de pays, de langue et de culture.
Gros bisous a vous 2 de nous 4
La fameuhly en trikes
Tiens, la Bretagne est petite, on dirait bien que les deux tandémistes couchés que vous avez croisés au pied de l’église de Surzur, ce sont Philippe et Isabelle que nous avions nous-mêmes croisés fortuitement le long de l’Eurovélo 6 en 2009 alors qu’ils faisaient Vienne -> Rennes sur leur tandem couché pendant que nous faisions Rennes -> Bratislava (à 60km de Vienne) sur le nôtre ! http://www.tandemcouche.fr/images/200000098-6b9736c914-public/Rencontre+de+tandems+couch%C3%A9s.jpg
Que le vent (dans le dos…) continue de vous accompagner !
On vous suit de loin et on apprécie à lire votre blog. La Vendée, ce n’est peut-être pas tout plat comme vous allez vers le sud, cela descend et donc c’est plus facile ! Vous avez fait fort pour le J10 et je soupçonne un dopage !
Bon courage pour la suite.
Biz Sandrine et Philippe
Quel plaisir de vous lire, vous semblez si naturel, comme les paysages que vous rencontrez. Pour moi vous êtes des inconnus qui me font rêver depuis les rando-folies de St Erblon et là je connais la région mais plus tard ce sera encore plus chouette !
Félicitations pour le J10.
Mamie Nicole
Chouette, une mamie qui nous suit.
Ca va être plus exotique plus tard, mais dès maintenant on a grand plaisir à rencontrer des gens super sympas.
Youou des gros bisous! exellent de vous lire, ça fait plaisir 🙂 Suis passée voir hervé cet après midi ; tout roule ; j ai mis une photo sur le face book carj e n’ai pas réussi ici , des bisous
Bonsoir, je vous suis depuis que je vous ai vu partir de Saint Erblon !!! vous m’avez donné envie de faire la même chose !!!! je vous envie !!! Profitez bien et faite nous rêver !!! Amusez vous bien et MERCI MERCI MERCI de nous faire participer à votre périple !!! je vous souhaite bon courage dans votre périple !!!! A bientôt !!!!!! Pascal qui pense à vous tous les jours !!!!
Waouh, un fan des Cyclomigrateurs !
Félicitations, c’est un bon choix. Et OUI il faut faire de même, en commençant peut-être par quelque chose de plus « raisonnable » en durée comme en distance. Quoique, c’est dans la tête que ça se tient, et tous les fadas qu’on a rencontrés à leur retour ont en commun des étoiles dans les yeux en évoquant leur voyage.
Donc : GO !
Alors nos tourdumondocyclistes ne s’intéresseraient aux moules (et aux huitres) que quand elles crèvent et leur préfèreraient les boyaux des saucisses du marché? ;
– trop lourd pour les sacoches les coquilles d’huitres ? sans doute… alors que les boyaux, c’est plus léger et re-cyclé de suite
– ou bien parce que mourir accroché à son piquet ça ne leur ressemble pas?
Sédentaires de tous clochers, regroupez-vous et ne soyez pas susceptibles!
Pourtant, une fuite émanant de la recherche médicale affirme que les huitres, c’est un détoxinant très puissant (sic) des boyaux et c’est pourquoi il faut en prendre modérément …alors que les saucisses….
Bon j’arrête car là (à trop panser boyau), je vais vous porter la poisse.
Dormez bien :
– la tête à l’Est, car c’est meilleur pour la santé
– ou bien à l’Ouest (option pour les vrais fous)
Allons donc, voilatipas que pour faire l’andouille il y avait les gars de Vire et ceux de Guéméné, maintenant il faut ajouter celui de Septeuil.
Le cousin a peut être abusé du tord-boyaux, mais ça lui réussit plutôt bien pour tordre les (maux) mots. Une influence du sieur Devos ?
je regrette,(avec Termen), de ne pas avoir pu vous offrir un dernier fest-noz avant de continuer votre « régime sans celtes » !
Mais, je sais que vous avez emmené quelques petits airs qui vont vous rappeler le pays et puis, je t’ai entendu irène sur france bleue armorique et je suis sûre que vous allez être de merveilleux ambassadeurs de la Bretagne.
(mais, juste un petit souci pour moi, je ne reçois pas les alertes qd vous mettez de nouveaux articles et pourtant je me suis abonnée plusieurs fois!) j’espère que je suis la seule; je regarde régulièrement pour vous suivre et vous admirer (…de ma chaise!) mais ce serait mieux si je pouvais me réabonner sans problème. Joël , en pédalant, trouve la solution , je crois comprendre que rien ne te résiste!!!!
En tout cas, déjà merci pour vos articles et les photos qui nous font rêver, sourire, et …ce n’est qu’un début!
Gros bisous de nous 2 à vous 2
martine et michel
Nous nous sommes rencontrés vers Soulac puis nous vous avons retrouvés à Montalivet. Nous espérons que malgré la pluie vous avez pu faire tout ce que vous vouliez et que vous avez trouvé un coin chaud et sec pour passer la nuit. Bonne route et à très bientôt. Peut-être sur le Bassin d’Arcachon. Jamais deux sans trois.
Après Soulac, vous étiez sous l’eau alors que nous étions au restau avec les gens de FranceTV… L’après midi a été moins humide, le tournage a pu se faire et le soir nous étions au camping **** de Montalivet, lequel nous a offert la nuit en signe de soutien. Cool !
Arcachon lundi, y serez vous ?
Superbe article . Magnifiques photos.
Ca promet pour la suite !
Bravo pour ce magnifique article et merci pour vos encouragements.
On part demain en train direction Toulouse pour remonter vers le nord. Mais je crois que c’est trop tard pour ce croiser : ouskison nous l’a dit.
Bonne route à vous.
On s’en doutait, on roule trop vite pour avoir une chance de vous croiser au retour de Toulouse sur vos deux beaux tandems Pino. Et pourtant, on traîne, on musarde…
Nous vous souhaitons un meilleur temps que celui que nous avons cette semaine, ou au moins autant de chance pour trouver de bons abris lors des averses.
Et on vous suit sur votre blog, votre projet est très intéressant.
Je vais vous suivre …. Si vous passez par Vienne ( 38) faites signe !!!!! Bon voyage Bisous Lili
C’est super gentil. A priori, on passe plus au nord, dans l’Ain, mais sait on jamais…
Vous n’avez pas croisé Ewan, il est remonté de Figeac à Peillac à vélo la semaine dernière…
Tant pis, vous en trouverez bien d’autres sur la route, et sinon, on vous attend à Figeac pour un autre pot! 😉
Bisous à tous les deux et bon vent… de dos!
Elsa.
Coucou !!! Je vient d’aller voir Apollon et il va très bien il m’a dit que vous lui manquiez et qu’il a hâte que vous reveniez !!! 😉 Moi aussi 😀 !!! Bisous !!!
Bonjour, amis Cyclomirateurs,
J’aurais bien aimé faire un bout de chemin avec vous lors de votre passage en Vendée, mais j’étais occupé et je n’avais pas été prévenu de votre passage.
Ceci- dit, je voulais réagir à votre « enchantement » vis à vis du réseau cyclable vendéen, certes par rapport à certains départements, la vendée dispose d’un important réseau cyclables, maintenant à dire que c’est un modèle du genre, c’est faux …si vous entrez au coeur du département il vous faut partager la piste avec les engins agricoles, c’est pas top
Faire des pistes cyclables et surtout en faire la promotion sur le dos du contribuable, c’est très facile, mais entretenir ce réseau c’est un autre chose et ça se dégrade très rapidement….
Des chicanes, si si il y en a, certaines ont disparues, mais il en reste encore de nombreuses, moi qui roule en trike, je n’utilise que très rarement les pistes cyclables pour ces raisons et je ne parle pas de ceux qui circulent en VM……
Bon courage pour la suite de votre périple, je vous suit sur le forum du Vélorizontal et bin entendu sur votre blog.
@+
J-Y