De Wellington (la capitale) à Gladston (le coin le plus paumé de NZ)

A l’issue d’une traversée tranquille (sans naufrage), nous débarquons à Wellington, la capitale de la Nouvelle Zélande, il fait nuit, il est 17h30 et le vent souffle avec des rafales puissantes qui nous déstabilisent. On serre à gauche le plus possible pour ne pas finir sous les roues des voitures, fort heureusement nous aurons bientôt ce vent dans le dos pour les six kilomètres qui nous séparent de la YHA où nous allons dormir.

Nous y arrivons en empruntant les pontons et les aménagements du front de mer loin de la circulation. La ville illuminée se dessine sur les collines aux alentours, elle a les pieds dans l’eau. On se régale des lumières du soir tout en prenant le temps d’arriver à notre point de chute au 292 Wakefield street Te aro. Une immense auberge de 6 étages avec la chambre 508, une boîte à chaussures, au 5eme étage. Heureusement les parties communes compensent largement la petitesse de notre bedroom, nous ne retiendrons donc que le côté positif du lieu, d’autant plus qu’on y rencontre Lise, une charmante jeune fille arrivée seulement depuis 3 semaines en pays kiwi et que nous initierons au Qwirkle le temps d’une soirée et avec qui nous partageons un repas de crêpes. Les mêmes que lui faisait sa grand mère, Irène apprécie le compliment (en tant que grand mère, of course 🐑🐑). Nous resterons ici 3 nuits, c’est en plein centre-ville, donc pratique.

Il pleut, tiens donc, on y échappe en allant visiter le fameux musée Te Papa à 10 minutes à pieds.

Te Papa

LE musée à voir, à lui seul il justifie un passage par Wellington.
L’architecture des lieux est tarabiscotée, très novatrive. On va en faire tout le tour avant de trouver l’entrée magistrale ! (Pour des aventuriers habitués à barouder de par le monde, ne pas trouver l’entrée ça fait tâche)


Il nous faudra pas moins de cinq heures pour sillonner les salles consacrées aux volcans, aux incendies, aux tremblement de terre avec une petite maison dans laquelle on entre et qui soudain se met à trembler, etc. Il y a des écrans tactiles un peu partout, les enfants sont ravis et c’est un plaisir de voir des familles en visite ; certains gamins, habitués aux écrans tactiles, essaient de faire glisser les textes et images même sur les panneaux d’information qui n’ont rien d’électronique, c’est mignon.

 

Parmi les vedettes des lieux, le calamar géant péché en 2007 en mer de Ross en Antartique qui pèse 495kg et fait 4,20m de long. C’est dire si ce géant des mers pouvait vous étreindre de ses longues tentacules et vous avaler rapidement si vous lui tombiez entre les pattes… On apprend comment fonctionne ce drôle d’animal aux multiples cerveaux, fascinant.

Une section plus classique mais néanmoins superbe présente la vie animale actuelle et passée du pays. Essentiellement des oiseaux, évidemment, puisque jusqu’à l’arrivée des Maoris il n’y avait aucun mammifère en Nouvelle Zélande.

Allons maintenant découvrir les sections consacrées aux Maoris. Te Papa Tongarewa en langue maori signifie « Lieu des trésors de cette terre » et des trésors maoris nous allons en voir dans ce musée de 36.000 m2 ouvert en 1998.

Notamment des canoes, une superbe Marae, maison du peuple dont chaque poutre représente un ancêtre, les murs sont tissés de feuilles de flax, cette plante aux longues feuilles présente principalement dans les milieux humides. Ainsi que des lances, parures, objets de cultes. Toute une galerie de portraits des chefs de tribus, magnifiques et fiers ainsi que leurs épouses, les visages marqués des tatouages spécifiques à chaque groupe et qui évoluent en fonction des événements permettant ainsi à chaque tribu de se reconnaître (On ne peut prendre de photos dans cette section, dommage).

Nous découvrons le fameux traité de Waitangi, signé en février 1840, par lequel les Anglais font de la Nouvelle-Zélande une colonie britannique. Aujourd’hui encore ce traité est controversé, les versions rédigées en maori et en anglais divergeant sur des concepts essentiels notamment sur l’interprétation de 2 mots.
Kawanatanga : qui est le pouvoir cédé à la Couronne
Rangatiratanga : qui est le pouvoir conservé par les chefs tribaux.

500 chefs l’ont signé, principalement pour éviter d’entrer en guerre contre la couronne et autant ont refusé, et au bout du compte les Anglais ont évidemment réussi à ne pas en respecter les termes afin de s’approprier les terres des Maoris, même lorsqu’ils ne voulaient pas vendre. Le système était aussi simple que pervers : On leur fournit des armes, on les laisse s’entretuer (la guerre des mousquets) puis on siffle la fin de la récré et on confisque les terres.pièce du Traité de Watangi
A noter que ce sont des copies nous voyons, certains originaux ont été dévorés en partie par les rats, ce qui en dit long sur l’importance que les Anglais apportaient à ce traité historique.

Une salle particulièrement surprenante va nous retenir longtemps (en fait nous revenons le lendemain et y passons à nouveau cinq heures !). C’est la salle dédiée à l’Anzac dans la bataille des Dardanelles.

Très impressionnant : Les très grands personnages fabriqués par les studios Weta à l’occasion du tournage du film « The scale of our war« , d’un réalisme saisissant.

Mais aussi les incroyables maquettes reproduisant les lieux de combats avec les reliefs montagneux parfaitement reproduits et une profusion de détails, les décors évoquant la vie des soldats, que l’on découvre de pièce en pièce, c’est saisissant et très fort.
Sur d’immenses écrans tactiles on peut suivre les avancées des troupes, là aussi c’est très bien fait et passionnant même si au départ on ne s’intéresse pas nécessairement à ce sujet. On rentre dans cette page d’histoire, qui est aussi la nôtre, tête baissée, mais nous nous étions déjà approprié le sujet l’année passée quand nous avions assisté à l’Anzac day à Rockampton.

WETA Studios

Les personnages géants de Te Papa nous ayant donné envie de visiter les studios qui les ont réalisés, nous prenons le bus pour visiter les studios Weta dirigés par Peter Jackons à Manamar, en banlieue.

Là c’est un plongeon dans le domaine du gigantisme et de la miniature. Nous n’imaginions pas les compétences multiples nécessaires à la création de décors et de personnages pour des films de fiction et même pour des films d’animation. On se figurait naïvement que tout ce qu’on voit autour des personnages en 3D est créé sur des ordinateurs, eh bien pas du tout : Des décors pas virtuels du tout sont patiemment créés à différentes échelles, avec un sens du détail impressionnant. Il arrive qu’un décor qui a mis des semaines à être mis au point ne serve que deux secondes dans le film !

Évidemment ces studios ont été très impliqués dans Le seigneur des anneaux et Bilbo le Hobbit, notamment pour les armes et les costumes dont la finition est bluffante, même si le plastique remplace souvent le métal (les acteurs apprécient de ne pas porter une cote de maille de 35 kg).

Travaillent ici des adultes qui jouent aux enfants en faisant preuve d’une créativité débridée, notamment en détournant des objets du quotidien, l’imagination est reine. Dommage que la visite soit si courte et interdite de photos. On portera désormais un autre regard sur les films de fiction ou d’animation.

Direction le cinéma Roxy à la belle façade art déco, appartenant aux studios Weta, datant de 1928 ; il a reçu le prix « Best Cinema in New Zaeland ». L’industrie du ciné est florissante à Wellington, on le constate.
On profite d’être en ville pour acheter de nouvelles sardines pour la tente (il commençait à y en avoir trop de tordues, à force de planter dans la caillasse) et déguster un mémorable milk shake.

Pour prendre de la hauteur, on se fait une balade pédestre jusqu’au mont Victoria, il y a une belle vue sur la ville mais sous une couverture nuageuse, dommage. Retour en ville par le Bush, la forêt aux sentiers très pentus, faisable à pieds mais pas à vélos.

Comme l’arrivée, le départ de Wellington sera sous la grisaille en longeant la mer par une piste cyclable pas très bien entretenue, en contre voie le long de la voie de chemin de fer, et même à un moment à contresens de la voie rapide sans aucune protection, c’est plutôt flippant.
Mais avant on prend encore quelques clichés. A y regarder de plus près les aménagements du nord bord de mer sont vraiment impressionnants et remarquables, la mer arrive sous nos pieds et lèche les soubassements des immeubles presque sous la route. Il y a pas d’espace sécurité avec une plage de sable parce qu’il n’y a pas de plage.

La Rimutaka Cycle Trail

Pour nos premiers tours de roue sur l’Île du Nord, rien de tel qu’un circuit adéquat et ça tombe bien, il y en a un qui part presque de Wellington, nous allons l’emprunter sur une grande partie mais pas en totalité car c’est quasiment une boucle et on n’a pas l’intention de tourner indéfiniment en rond.
Pour cela, il faut rejoindre Pelone, une petite ville située à une vingtaine de km de Wellington, c’est là que nous allons quitter la mer en observant les chiens qui s’ébattent sous l’oeil vigilant de leurs maîtres, sacs en plastique à la main pour recueillir les petits cadeaux de leur toutous (si seulement on pouvait retrouver cette propreté à Paris…).
C’est ici aussi que nous allons recevoir les premières gouttes de pluie de la journée, on enfile nos équipements, après tout si on les trimballe c’est bien pour qu’ils servent, non ? (Cet argument est très discutable, on trimballe aussi des pansements et médicaments, s’ils ne servent pas tant mieux)

Nous allons longer la rivière Hutt une partie de la journée. Pause sushis à l’abri à Stokes Valley, il pleut trop et on a envie d’un endroit au sec, ce petit take away fera bien l’affaire et les sushis sont délicieux (un avant goût du Japon ?)

Nous plantons la tente à Hupper Hutt sous un abri BBQ (comme ça elle ne sera pas trop mouillée le lendemain matin) et trouvons refuge dans la cuisine plutôt basique et sans fauteuils ou canapés profonds… pas de chauffage non plus, on allume les plaques électriques pour avoir un peu de chaleur. Heureusement, une fois sous la tente, bien emmitouflés dans nos duvets on n’a pas froid. Bonne nuit les petits, pendant ce temps-là en Bretagne vous êtes en plein jour, chacun son tour.

Malgré les rayons de soleil du matin la journée s’annonce humide, les nuages s’accrochent aux montagnes et déversent leur eau avant de continuer leur voyage allégés. Nous continuons aussi le notre, mais sans être allégés.

Ça mouille, même les moutons semblent être résignés, seuls les champignons sont ravis.

La première partie du parcours est un peu trop technique pour des vélos chargés, nous reprenons l’asphalte pour un court moment avant d’arriver sur l’ancienne voie de chemin de fer un peu plus praticable et nettement plus large.
Construire en 1878 pour rejoindre la vallée de Hutt et Featherston elle a fermé en 1955 quand le tunnel de 8.8 km (!) à été mis en service. Elle fait 18 km de longueur, ça va être intéressant.

Le premier tunnel Cruckshanks n’est pas très long, seulement 120 m, une sorte d’entrée en matière mais pour arriver jusque là nous avons dû pas mal pousser. Nous montons ensuite tranquillement sur une piste plutôt faite pour les Vetetistes mais on apprécie cet endroit. Nous sommes dans la forêt de Pakuratahi, dense, ravineuse, mystérieuse on ne voudrait pas dévaler les pentes abruptes de chaque côté de la piste, qui viendrait nous chercher là !?

Seule fausse notre sur ce circuit, une chicane particulièrement tordue qui oblige à tout décharger puis recharger (On se croirait en France).
Des panneaux d’interprétation le long du parcours nous informent de l’histoire des lieux et du travail réalisé au prix d’efforts humains gigantesques quand ça n’était pas leur vie qu’ils perdaient ces ouvriers du rail.

Sept tunnels ont été percés dans la montagne, d’une longueur entre 90 et 576 m, puis le fameux tunnel de 8,8 km qui les a tous remplacés. Un des tunnels se nomme Siberia. Un lieu particulièrement impressionnant fouetté par des vents violents et froids. Un accident tragique a eu lieu ici-même le 11 septembre 1880, lorsqu’une bourrasque à projeté dans le vide trois des voitures transportant des passagers. Quatre enfants ont perdu la vie et il y a eu de nombreux blessés. Ce fut le 1er accident ferroviaire de Nouvelle Zélande.

A la sortie du dernier tunnel, il y a comme un problème : Le viaduc et les rails ont disparus, seul subsiste un pilier. Il nous faut mettre pied à terre pour descendre la pente abrupte vers la rivière. A deux pour chaque vélo qu’il faut retenir de faire le plongeon. A deux aussi pour les pousser dans la remontée après avoir passé les roches du lit de la rivière qui fort heureusement n’est pas au mieux de sa force.

L’ancienne voie ferrée s’arrête peu après, sur un emplacement plat. Vu qu’il n’en subsiste rien, on a peine à imaginer qu’à l’époque c’était un important arrêt ferroviaire.
Il ne reste plus qu’à longer la paroi descendante sur les 7 km restants avec une vue majestueuse sur la forêt en contrebas. La pente est très forte, et pourtant le train arrivait à la grimper, nous apprendrons plus tard comment. Nous finissons les 2 derniers kilomètres sur d’étroits passages le long d’une colline surplombant les pâturages de moutons très en contrebas… Irène n’apprécie que modérément cet épisode et est bien heureuse d’arriver enfin sur du bitume à Cross Creek d’autant plus que le ciel nous offre des couleurs orangées pétantes de fin d’après midi sur le lac Wairarapa.

Featherston, le Bécherel Kiwi

Nous sommes sur le côté ouest du lac, après avoir vaguement hésité à le contourner mais ça nous prendrait deux jours, alors nous poussons jusqu’à la petite ville la plus proche, Featherston. Neuf kilomètres de ligne droite et plate pour trouver une place dans le seul camping, qui ne loue que des cabins. Le proprio n’est pas présent mais après un coup de fil il nous propose de piquer la tente devant la citerne d’eau sur un coin de pelouse vu qu’il n’y a pas foule dans les cabins ça ne pose pas de problème. Pourtant on va avoir bien du mal à trouver le sommeil, nous sommes samedi soir et dans la maison voisine c’est la fête, musique à fond !

À Featherston, ville du livre, ce week end c’est un peu comme à Bécherel, conférences et bouquins absolument partout. Dommage qu’ils soient écrits dans cette drôle de langue incompréhensible alors que le français est tellement plus clair !
A noter que Featherston et Bécherel ont un autre point commun, ce sont de très petites communes, comme quoi en matière de dynamisme ce n’est pas la taille qui compte.

Le mystère du train qui grimpe

C’est au musée Fell que nous allons enfin savoir comment les trains pouvaient grimper des pentes à plus de 7%, ce qui est totalement impossible à tout train normalement constitué, à l’époque comme aujourd’hui.
C’est grâce à l’ingénieur anglais Fell qui a inventé une locomotive qui, en sus de ses roues motrices classiques, a des roues horizontales qui s’appuient sur un rail central.

Ce système avait déjà été installé en France, au Mont Cenis, puis en Amérique du Sud au Brésil. Il permit au train de circuler sur la Rimutaka de 1878 à 1955. Il y avait toutefois des inconvénients : Les locomotives classiques ne pouvant passer sur la section avec rail central, il fallait les dételer et mettre des locos Fell à la place. Mais comme elles étaient moins puissantes, il en fallait plusieurs (jusqu’à six), intercalées entre les voitures du train, qu’il fallait donc recomposer à chaque fois. Et cette pente ahurissante posait un autre défi : Le freinage, ce qui peut être utile. Avant la descente, outre les locos Fell, il fallait insérer des fourgons de freinage qui, eux aussi, prenaient appui sur le rail central. La tâche des « freineurs » était délicate, ils devaient bien connaître le parcours pour doser l’effort. Et il fallait changer les patins de freins (en acier) à chaque trajet, quel boulot…!

La machine exposée est la seule restante au monde, elle a fait l’objet d’une restauration minutieuse (9 000 jours de travail par des bénévoles sur 9 ans, autant dire des passionnés. Elle est en état de marche, magnifique. Et le guide, qui lui aussi est en état de marche, est très sympa et connait bien son sujet.

Martinborough

C’est reparti sur une route bien agréable : Plate, ensoleillée, longeant des vignobles et des oliveraies, ça change de la veille, chaque jour est un nouveau départ.

A Martinborough, ça sent l’été indien. Il y a du monde aux terrasses des resto et des bars, plein de boutiques, la bourgade a l’air prospère.

En poursuivant, ce n’est pas mal non plus, c’est même un régal de déambuler silencieusement et lentement dans ce décor champêtre. Douceur de vivre.

Gladstone

Pour le bivouac de ce soir, nous optons pour Gladstone, commune qui existe sur la carte mais qui s’avère plutôt virtuelle : A part une église et deux maisons, il n’y a rien. Qu’à cela ne tienne, derrière l’église on sera bien, on n’est pas sectaires. Mais la voisine chez qui nous allons chercher de l’eau nous suggère d’aller plutôt au bord de la rivière, après le pub.

Ah bon, il y a un pub dans cette cambrousse ? On en doute un peu, plus on roule dans la direction indiquée et plus c’est désert. Et puis tout à coup, bingo ! Il y a un pub au bord de la route, près du long pont qui enjambe la rivière locale. On se fait héler par deux joyeux drilles qui en sortent, ce sont des musiciens qui nous invitent à entrer là. Mais pas de bol, l’après-midi musicale est terminée, tout le monde ou presque est parti.
On s’en va installer la tente de l’autre coté du pont puis revenons au pub pour la soirée. En effet, c’est désert mais quand on demande si on peut dîner on nous répond que c’est complet ! Il est 17h et en effet les gens arrivent à partir de 17h30 et se mettent à table. Heureusement on a pu se « réfugier » autour d’une barrique et dîner là, c’est peu abondant mais bien cuisiné alors ça va. Bon appétit !


TON
Vous avez peut-être remarqué que les villes kiwis ont souvent des noms se terminant par "ton" : Wellington, Featherston, Picton, etc. (Pour les anglophobes ton=town=ville)
C'est évidemment l'influence anglo-saxonne, par exemple au Trumpistan ils ont Boston (la ville où on bosse), Washington (la ville où on lave), Charleston (la ville où on danse).
Mais en France on n'est pas en reste, on a Charenton (qui n'est même pas en Charente), Menton (la ville où on ment) et Carlton (La préférée de DSK grâce à Dédé la Saumure).
Mais cessons là, pas la peine d'en faire des tonnes...

 

9 Comments

  1. Du fond de mon fauteuil roulant après une bête chute à vélo(je n irai pas jusqu à dire que c est de l ordre de la solidarité féminine) et une intervention chirurgicale, j apprécie encore plus de voyager….en vous lisant.
    En fait il y a le voyage physique et l autre , celui qu on ressent , qu on fait vivre dans sa tête.
    Sinon, c était bien physique votre périple la…..descendre, pousser, décharger, charger…..
    A plus les filles de St gin

  2. Toujours aussi passionnant de vous suivre!!! Par contre, je ne vois pas tout, n’ayant pas Java script, mais les textes sont très bien écrits et imagés, donc tout va bien! Bonne route!!!

    • Quoi, pas toutes les images ? Ça ne va pas du tout, ça ! On se décarcasse à mettre des diaporamas , il faut que ça serve. En cas de problème de Javascript : Activer le Javascript dans le navigateur internet ou en utiliser un autre (Safari, Firefox, Chrome, ce n’est pas le choix qui manque).

  3. bonsoir sans aucun doute il y a beaucoup de choses à découvrir en NZ…merci pour partager ces moments de bonheur!A bientôt sur une autre latitude…

  4. Re bonjour Irène et Joël,
    Je découvre avec vous la Nouvelle Zélande. Superbes paysages et récits intéressants !
    Lors de votre arrivée sur l’île (votre premier article) vous évoquiez un accueil plutôt frileux des kiwis? Et depuis?
    Belle journée car pour vous la journée commence il me semble.
    En Bretagne fin d’une belle journée ensoleillée .
    A bientôt
    Michel

    • Nous avons été spontanément invités puis accueillis par plusieurs Kiwis, en fait ils sont vraiment prévenants et prêts à aider. Même pas besoin de demander…
      Premières impressions vites balayées, depuis c’est tout bon, ces gens là sont comme leur pays : A découvrir absolument !

  5. Coucou mes voyageurs …… Et bien c’est galère , vous choisissez pas le plus simple vous faudrait des 4×4……lolllll…..J’étais en sueur de vous lire , faut dire qu’il chaud chez nous très chaud 31 a 19h30 ……..je suis en plein dans la confiture de cerises et en plus je vais les volée …hé hé …..Bon les propriétaires sont mes cousins ………il y a un gaspillage ils ramasssent pas car il y en quelques unes d’éclatées , ça fait mal au coeur , c’est la france ,….breffff ……
    Bon toujours pas vu de kiwi ?
    J’attends la suite ……….vite……
    Bisous ………….Lili

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