Emportés par la Sioule

Suite du récit de la Quinzaine CCI de Roanne à Oléron. Dans cet article, trois journées pour le prix d’une, vous êtes gâtés, n’est il pas ?

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Étape de Puy-Guillaume à Saint-Gal-sur-Sioule, communes du Puy de Dôme que tout le monde connaît, évidemment.

Les paysages sont agréables, c’est vallonné, la météo s’est bien améliorée, parfait.

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Comme bien souvent, il y a de quoi voir le long de la route, c’est pourquoi je m’arrête aussi souvent pour observer la végétation ou parler aux animaux (lesquels ne répondent généralement pas).

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L’immobilier ne doit pas être trop cher par ici, il y a des biens à vendre. Beau potentiel, envisager quelques menus travaux de décoration.

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Hippopotames au menu

On ne s’en douterait pas, mais il y avait des hippopotames qui vivaient dans le coin. Certes il y a quand même pas mal de temps de cela… C’est pourquoi on trouve, en pleine campagne, un superbe endroit qui s’appelle Paléopolis, consacré à la paléontologie comme il se doit.

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L’ensemble est sympa, très didactique, j’y passe plus d’une heure, mais il y aurait largement de quoi y consacrer plus de temps. Surtout avec des gamins pour lesquels il y a tout un espace particulièrement bien fichu.

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La Sioule

Belle rivière, avec même de l’eau dedans. Pour nager par contre c’est pas gagné : j’ai traversé la Sioule sans même me mouiller les genoux ! Pour les kayakistes ça frotte souvent.

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Le camping de Saint Gal sur Sioule (Un nom pareil ça ne s’invente pas) est sympa, avec un excellent accueil, pas comme la veille avec une policière rurale qui jouait au shérif. Et aucun voisin bruyant (musique, klaxon, etc) comme les nuits précédentes. Il y a du progrès !

La vidéo du jour :

J4

On n’en a pas fini avec la Sioule, loin s’en faut. Comme d’habitude chacun choisit son itinéraire, j’opte pour les gorges de cette rivière. Si le parcours révèle bien des paysages agréables, il n’est cependant pas de tout repos.

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Avant de pouvoir pédaler dans les gorges, il faut se farcir de belles montées qui ont l’avantage de donner de beaux points de vues et l’inconvénient de bien faire suer.

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Comme la dernière partie du circuit quitte les gorges pour s’élever sur le plateau, je profite d’un dernier séjour au bord de l’eau pour un picnic mérité et nécessaire. Il y a là une source d’eau bénéfique pour un tas de maux dont je ne souffre pas, même si elle contient justement du soufre.

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L’après-midi est plutôt coriace car il fait chaud et ça monte quand même vachement. Donc pas de photo, je commence à être crevé. Par contre, réconfort le soir au camping de Saint Georges de Mons, il y a pas loin une espèce de resto qui cuisine des burgers super bons. Je dois toutefois reconnaître que c’est un peu lourd pour le soir, burp !

La vidéo sioulesque du jour :

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Une journée qui commence par un lac et se termine par un lac. Entre les deux, 60 kilomètres et plus de 900 m dénivelé positif, sous un soleil radieux.

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Il y a de beaux points de vues, de petites routes comme je les aime, même quand elles se transforment en petits chemins. Mais aussi, hélas, une longue section de grosse route sans intérêt, on ne peut pas tout avoir.

Du bourg de Pontaumur je ne retiendrai que son supermarché et ses poubelles décorées, par contre la campagne environnante est belle et très très valonnée.

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La récompense à l’arrivée, c’est la baignade dans l’étang de Meouze. Après avoir eu aussi chaud, c’est un régal !

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