
En attendant l’électrification du vélo d’Irène, pas moyen de rouler, c’est le repos forcé (et apprécié) en famille.
Mais rester immobiles durant plusieurs jours, ce n’est pas trop le genre de la maison, vous le savez. Alors quand est venue l’idée d’aller découvrir le Salève en parapente, ça n’a pas trainé : on a appelé Salève Airlines le matin, l’après-midi même nous étions sur l’aire de décollage.
Est-ce bien raisonnable vous demandez-vous ? Renseignements pris, pas de contres indications, il n’y a pas d’efforts à faire, juste se laisser aller, surtout ne pas s’asseoir dans la culotte du harnais au moment du décollage, rester bien debout, courir quelques pas en même temps que le moniteur (très gentil avec une voix douce et apaisante, il doit faire du yoga celui là) Merci Frank, ancien cuisinier reconverti dans le parapente, en fait d’une passion il en a fait son métier, comme quoi les casseroles mènent à tout, reconversion réussie !!!
Grand frisson garanti, cri d’épouvante pour Irène au moment du grand saut suivi d’une ascension on ne peut plus impressionnante, les voitures ont la taille des fourmis, les toits des maisons ont celles des jouets de Zoé, les piscines ressemblent à des flaques d’eau, le lac Léman une grande tâche d’encre avec posées dessus des petites tâches blanches des voiles de bateaux ; vu du ciel c’est un monde en miniature, vachement impressionnant quand on réalise que l’on est assis, les jambes pendantes, sur un siège tout mou et que l’on a pas grand chose où se raccrocher. Un peu difficile tout de même d’être complètement relax lors d’un premier vol, on en prend plein les mirettes et on se prend à penser qu’il ne faut pas atterrir sur le tas de fumier ou bien sur les serres, voire même dans la piscine de la grande propriété du milliardaire du coin et pourquoi pas sur le toit d’une voiture, vu que la 4 voies passe par là…. Nom d’un chien obligés de faire confiance aux monos, mais pour ça pas de problème, ils ont géré un max, bravo à eux, et merci pour leur gentillesse.
Dès le départ, les instructions étaient bien claires : « Tu cours en direction du lac Léman, tu ne regardes pas où tu mets les pieds » ; et pour cause, car après quelques mètres il n’y a plus rien pour mettre les pieds, juste le vide… D’ailleurs, il n’y a pas eu besoin de courir, la voile s’est chargée de nous emporter vers le haut à toute allure, l’effet est saisissant.
Un fois en l’air, ça décoiffe, le vent se fait bien sentir et pourtant on a l’impression de ne pas avancer, ou alors tout doucement. En fait si, on avance à 40 km/h mais comme on est à plus de 1 500 m on voit tout de loin et ça fausse l’impression de vitesse. C’est fabuleux de se sentir en l’air, sans bruit de moteur, libre d’aller au gré du vent. De là à dire qu’on est tout à fait à l’aise, ce serait exagérer, mais l’enthousiasme l’emporte largement sur les appréhensions, et ça pourrait même bien donner envie de remettre ça dans d’autres endroits si l’occasion se présente à l’avenir.
Si le retour sur le plancher des vaches apporte un sentiment de stabilité, les sensations restent dans la tête, c’était une formidable expérience.

super ce truc!!!
Courageux tout les 2 , meme si je vous connais pas , je vois deja comme Irene reagie apres cette paranthese « maladie » battante a fond , il y en a pleins qui ce serais dit on part plus , mais je vous comprend, pas s’ecouter c’est le meilleur medicaments , parfois on peu vraiment pas faire autrement malgré toutes les volontés en tout cas CHAPEAU ………. Bisous a vous Lili
Comme quoi certains petits soucis peuvent engendrer des occasions de découvrir de nouvelles sensations. Cela va vous donnez envie d’accrocher une voile au vélo.
Partons pour quelques semaines dans le sud, sans ordi. Nous reprendrons des nouvelles au retour.
Bon voyage et grosse bises
Nous pensons bien à vous
Mie-Foise et André
et ben ça valait quand même pas les galettes saucisses de PJ… Na !!!
rebonjour vs 2 – suite à ma dernière messagerie , Je confirme intrépides et heureusement encore entiers , il faut bien que jeunesse se passe ..!!! vous me donnez des envies, je crois que, si l’occasion s’en présente, je n’hésiterai pas à en faire autant pour retrouver une partie de jeunesse…..- Je vous bise ts les 2 –
Coucou, j’ai eu l’occasion de survoler la baie du mont saint Michel en ulm, d’accord ça fait plus de bruit ! Mais quelle sensation ! A refaire pour sûr.
Bisous de nous 4
« Aujourd’ hui est le premier jour du reste de notre vie » …… C’est sûrement ce que vous vous êtes dit ce jour là !
Bonne continuation à vous deux. Bises. Evelyne
coucou ça c’est mon rêve de m’envoyer en l’air en parapente surtout dans cette région .
La santé à l’air d’aller mieux a se que je vois c sur que le voyage est plus rapide par les air, mais bientôt se sera sur le vélo qu’il faudra le poursuivre.
Petit dicton:
Il faut toujours un défi.Plus les défis sont grands ,plus il y a de chances d’en sortir quelque chose d’intéressant.Rénald Bérubé.
ANITA
coucou a tous les deux, je vous que vous amuser bien. j’espère a bientôt
nadège
coucou décidément rien ne vous arrête tous les deux formidable gros bisous a vous!!!!!
Génial !
C’est chouette de vous voir rebondir après cet intermède médical .
Fantastique, quelles belles photos, quelle énergie, quelle aventure … m’est avis qu’on n’a pas fini d’être étonnés avec vous dans les mois qui viennent ! Bravo, changez rien ! A bientôt ! Amitiés, Violette.
wouahhh rien que du bonheur !!! votre energie est communicative et pour ma part je m apprete à rejoindre mes globe trotteurs en suisse pour les derniers coups de pedale ….enfin quand les velos seront rendus à leur proprios!!! http://www.heureux-vagabondage.com/
une bonne continuation avec la fee elec!!!
Coucou les jeunes !
Cela nous fait hyper plaisir de vous voir souriants et en pleine activité !
gros bizhouxxxx
Nanou et Fred
ps : ma belle c’est tout toi ! Et félicitation à ton prince charmant qui est là, à t’attendre amoureusement et à tout faire pour égayer votre périple !
Super !
Mon 1er vol en parapente était au dessus du lac de Serre Ponçon, et je n’avais pas encore atterri que je me renseignai déjà pour faire un stage … puis une quarantaine de grands vols, Alpes, Pyrénées et Millau. Pour redonner la pêche y’a rien de mieux !
J’espère que le vélo d’Irène sera bientôt prêt et Irène en pleine forme pour la suite de l’aventure.
Bises
Aime-Aile 33
Quelle pêche, quel dynamisme les amis ! Rien de tel que des émotions fortes pour se remettre de fortes émotions…
Continuez comme ça mais soyez prudents.
Bravo pour toutes ces leçons de vie ! bises
Si ça continue, vous allez faire un vol en navette spatiale avant la fin de votre tour du monde !
Bravo pour votre énergie (même avant l’électrification du vélo !)
Bravo …super les aventuriers …félicitations…merci pour le grand frisson…A bientôt sur le net…Bernard
pas moyen de vous arreter !!!! continuez comme ça ne changez surtout pas restez vous meme !!!vous etes formidables bisous
Mon 1er commentaire n’est pas passé. Je vous disais de bien vous reposer avant de reprendre la route. La parapente devait être géniale. Vous avez bien fait d’en profiter. En étant électrifié cela ira mieux.mais il faudra toujours pédaler gare à tes mollets Irène. Joêl il faudra prendre de l’avance. Sur ce bonne continuation attendons d’autres nouvelles avec le nouvel engin.
Bisous à tous deux. Paulette
quoi un vélo électrique pour un tour du monde? Waouuu quand on voit le souci pour simplement recharger l’ordi… Bon courage…
S’envoyer en l’air à votre âge? est ce bien raisonnable? ;-))
Bon je vois qu’il y a déjà un Claude!!! Ou une Claude??? Je signerai don Claudia la prochaine fois ou la » valaisanne »??? Bizz